• Deuxième poème

    Sombre nuit

    Alors qu'au loin brille cette lueur,
    Alors que l'espace et son infinité
    Par le soufle d'une étoile révolté
    Détruit tout avec ardeur,

    Quand ces ombres si paisibles,
    Dissimulées derrière la lumière
    Telle des voluptes graciles
    Détruisent les innocentes prières,

    Dans le son inaudible d'un carrilon
    Teinté par cet être sans nom
    Comme un appel de la terre,

    Arrive alors l'inspiration de la vie
    Cette échéance que tous avait prédit
    Prend garde derrière toi! voila la nuit.


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